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Vincent Barberger, Montréal | ENGLISH
 

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Eliot, un vendeur qui a plus de dix ans d’expérience, avait beaucoup de mal à établir la relation avec les prospects pendant ses appels de vente. Il était sûr d’avoir bien exécuté les deux premières étapes du système de vente Sandler, qui consistent à établir une communication solide et à définir des attentes claires, mais signalait que ses prospects restaient malgré tout distants et détachés.

Lorsque nous l’avons interrogé sur sa stratégie pour renforcer la relation avec ses prospects, il nous a énuméré clairement et précisément tout ce pour quoi il a été formé : la science de la programmation neurolinguistique (PNL), la prédominance sensorielle primaire et tous les éléments d’un contrat préalable solide. Pourtant, quelque chose ne fonctionnait toujours pas pour lui. Il voulait savoir ce qu’il ne faisait pas convenablement.

Le mystère a été résolu rapidement. Au cours d’un exercice de jeu de rôles à l’occasion d’une séance de coaching, nous avons remarqué que Eliot employait sans le vouloir une tonalité qui faisait que ses prospects ne se sentaient « pas à l’aise ».

Eliot employait un ton tranchant et écrasant pour faire valoir ses arguments. Il donnait l’impression d’être agressif, et cela faisait fuir ses prospects. Nous lui avons conseillé de baisser la tonalité de sa voix d’un demi-octave par rapport à sa voix normale... et de se comporter un peu comme s’il n’était « pas à l’aise » au début de son appel de vente.

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